Face à cette infortune manifeste, les jeunes africains se trouvent maintenant livrés à eux-mêmes et face à une insécurité financières et sociales sans pareil. Et dans cette situation, l'entrepreneuriat s'illustre en un énorme canoë de sauvetage et une vraie aubaine. Nous nous interesserons aujourd'hui à ce concept très répandu en Afrique et partout dans le monde. 

QU'EST-CE QUE C'EST QUE L'ENTREPRENEURIAT ?

L'entrepreneuriat, aventure audacieuse, voyage de découverte de soi et d'innovation peut etre défini comme l'art de transformer une idée en réalité, de prendre des risques calculés pour créer de la valeur et apporter des changements positifs. Chaque entrepreneur est un explorateur, naviguant dans les eaux inconnues du marché avec détermination et vision, armé de passion et de persévérance. Ils sont les bâtisseurs de rêves, les moteurs du progrès et les architectes de notre avenir économique.

L’entrepreneuriat désigne le fait de mener une activité dont on est soi-même l’initiateur, comme le montre son sens étymologique. 

Les formes d’entrepreneuriat varient selon le type d’organisation qui est mise en place. Elles recouvrent des réalités très différentes : dirigeants de PME ou de TPE, administrateur de grandes entreprises, fondateurs de start-ups, artisan, agriculteur, profession libérale... Cela peut aussi concerner des formes d'organisation sans but lucratif, par exemple dans l'entrepreneuriat social... 

À QUOI CORRESPOND L'ENTREPRENEURIAT EN AFRIQUE ?

L'Afrique est le continent le plus jeune du monde, avec plus de 60 % de sa population ayant moins de 25 ans. Malheureusement, la jeunesse africaine fait face à un sérieux problème de chômage, ralentissant la croissance. Cependant, l'entrepreneuriat avec l'ampleur qu'il a acquis sur le continent depuis un certain temps, est créateur d'emplois et d'opportunités économiques pour cette jeunesse.

Les entrepreneurs mettent tout en œuvre pour réaliser leurs ambitions et atteindre leur épanouissement personnel. La création d'entreprises par les particuliers résout l'un des plus grands défis des gouvernements : créer des emplois et sécuriser ceux existants.

L'entrepreneuriat contribue ainsi à la croissance économique et lutte contre la pauvreté. En effet, c'est le moyen pour les individus d'obtenir de l'emploi par eux même , par leur créativité et leur capacité de gestion des affaires. L'initiative personnel des individus dans ce processus provoque un réel intérêt et une véritable volonté pour le travail bien fait afin d'aboutir à une réussite financière et aussi sociale. 

En Afrique, l'entrepreneuriat est un vecteur d'autonomisation des femmes. Apparemment d'après la Banque Africaine de Développement, le continent africain afficherait le pourcentage le plus élevé de femmes entrepreneures au monde. Le continent affiche près de 24% de femmes entrepreneures. Le monde professionnel était assez difficile pour ces femmes, qui luttent entre discriminations et harcèlements sexuels en passant par des propositions indescentes, elles se donnent à cœur joie dans la pratique de l'entreprenariat dans tout type de domaine et cela leur réussit bien. 

En clair, l'entrepreneuriat est essentiel pour le développement durable de l'Afrique, en favorisant la création d'emplois, la croissance économique et l'innovation. Mais, depuis quelques temps, ce concept prend plus une allure de tendance plutôt que celle d'une stratégie économique (sa nature première). 

L'ENTREPRENEURIAT, TENDANCE AFRICAINE DU MOMENT ?

L'entrepreneuriat n'est pas nécessairement fait pour tout le monde, mais il offre des opportunités à divers types de personnes. Cela nécessite une passion pour une idée, un produit ou un service. Si vous êtes motivé(e) et prêt(e) à travailler dur pour atteindre vos objectifs, l'entrepreneuriat peut être adapté à vous. Il peut donc ne pas convenir à certaines personnes dépourvus de certains atouts. 

Or en Afrique, on constate une hausse des activités d'entrepreneurs. Plusieurs entreprennent sans même prendre connaissance des risques ni évaluation du marché. D'autres s'y aventure parce qu'il ne leur reste que cette issu. On  se retrouve donc avec tout le monde qui fait la même activité et offre les même services et produits souvent même sous la même forme. Dans un sens, cette tendance peut influencer d'un point de vue négatif le domaine de l'entrepreneuriat. 

Les entrepreneurs en Afrique doivent pouvoir analyser pour de vrai le marché et leur compétences sans oublier les risques qu'ils prennent en entreprenant. C'est un travail personnel et collectif à la fois. Parce les gouvernements également s'y mettent en incitant les jeunes à entreprendre mais sans aide adaptés pour les aider dans cette démarche lourde de sens. 

En fin de compte, l'entrepreneuriat est une belle aventure complexe qui invite ses pèlerins à étudier de prêt l'offre avant d'y prendre part. Certaines personnes s'épanouissent en tant qu'entrepreneurs, tandis que d'autres trouvent mieux leur voie dans d'autres domaines.

Les africains au lieu de se mettre à entreprendre sans analyse de terrain ou sur un coup de tête devrait plutot s'intéressé à d'autres notions plus importantes. Ce n'est pas une tendance mais un choix de vie, toute réflexion est la bienvenue avant de s'y avancer. 

L'ENTREPRENEURIAT, UN MOYEN DE RÉUSSITE ASSURÉE?

L'entrepreneuriat est souvent vu comme un moyen d'atteindre la réussite et l'indépendance financière, mais il ne garantit pas toujours le succès. Il offre la possibilité de créer quelque chose de nouveau, de suivre ses passions et de travailler de manière autonome. Néanmoins, la création d'entreprise comporte des risques importants, notamment financiers. D'ailleurs de nombreuses entreprises échouent dans leurs premières années.

Réussir en tant qu'entrepreneur nécessite des compétences variées (gestion, marketing, finances...) et un engagement considérable en termes de temps et d'efforts. Les entrepreneurs doivent souvent innover et s'adapter rapidement aux changements du marché pour rester compétitifs.

Bien que, l'entrepreneuriat puisse offrir des opportunités de réussite, il n'est pas une garantie. Le succès dépend de nombreux facteurs, y compris la préparation, les compétences, le réseau, et parfois même la chance.

Il est évident que les entreprises tels que FAKO_DROP, sont passé par des vents et marées ont résisté à des tempêtes très fortes et ont survécu. L'entrepreneuriat comme chemin pour atteindre la réussite n'est pas un long chemin de tout repos. 

Il faut faire des sacrifices et fournir énormément d'effort et FAKO_DROP est un modèle africain atypique. Les africains entrepreneurs ou désireux d'entreprendre peuvent d'ailleurs s'en inspiré mais en entrepreneuriat, chacun son expérience, rien n'est acquis. C'est un perpétuel jeu de conquête. 

Sur ce, je vous dis à bientôt et d'ici là portez vous bien. N'hésitez à parcours notre plateforme pour découvrir d'autres articles encore plus attrayants et édifiant. 

Bonjour les amis j’espère que vous vous portez bien. Aujourd’hui, nous faisons un tour dans l’univers de la musique, un domaine assez prisé et même adoré pour réussir de nos jours partout dans le monde. Bonne lecture à vous. 

La zombification correspond à l’action de décerveler des personnes pour les manipuler.
Elle aboutit à la doxosophie, discours démagogique prescrivant ce que les gens veulent qu’on leur prescrive : opinions rebattues, conseils de bon sens, leçons de zenification pour une zombification des foules « incontrôlables ».

Qui pratique la zombification?

La zombification est pratiquée par les sorciers, nommés Hougans ou Bokos, qui sont considérés comme des divinités et des hommes. Ils font boire ou ils frictionnent la victime avec une concoction à base d’ingrédients naturels tels que des ossements humains en poudre ou des lézards, des carcasses séchées de gros crapauds ou de certaines plantes.

Quels sont les procédés de la zombification ?

Dans le vaudou haïtien, le zombie est une personne victime d’un bokor (prêtre vaudou), plongée dans un état cataleptique et privé de son âme par administration d’une puissante drogue. La victime, qui passe pour morte, est enterrée et au bout d’un certain temps, le sorcier revient déterrer le corps de sa victime en récitant diverses formules magiques.

Extrait de sa tombe, il lui est administré un antidote qui élimine les effets du poison et le fait sortir de sa léthargie. Puis il consomme une drogue hypnotique qui le rend amnésique et le réduit en esclavage.

La drogue est à base de tétrodotoxine, un poison puissant que l’on retrouve dans le tétraodon (poisson-ballon), et elle est administrée sous forme de liquide à ingérer ou par contact avec la peau sous forme de poudre (placée notamment dans les chaussures ou à l’intérieur des vêtements, cette poudre est associée à une substance urticante du type venin de crapaud pour que la personne se gratte et que la poudre pénètre la peau). En Haïti, on parle de « recevoir un coup poudre ». Elle donnerait à la victime toute l’apparence d’un mort par un arrêt complet apparent des fonctions vitales (état de catalepsie), tandis que le sujet resterait conscient et continuerait d’entendre ce qui se passe autour de lui.

Le poison aurait un effet limité dans le temps ou pourrait être annulé avec un antidote. Cette pratique, courante en Haïti et au Bénin, est interdite, mais elle perdure néanmoins, le vaudou étant une pratique chez les descendants des esclaves d’origine africaine.

Qui est la victime de la zombification ? _ Le zombie _

Provenant de la culture haïtienne, les victimes de sortilèges vaudous permettant de ramener les morts à la vie ou de détruire la conscience d’un individu, sont qualifiées de zombie.

Le mot « zonbi » signifie en créole « esprit » ou « revenant ». Il désigne ainsi des dieux esprits de tribus africaines. Depuis le xixe siècle, les zombies ont revêtu de nombreuses formes.

Le terme renvoie à deux concepts fantastiques assez différents. L’un relevant de son origine et l’autre dérivé du premier et plus répandu.

Concept d’origine africaine et haïtienne

Concept le plus ancien, ici le terme « zombie » désigne des cadavres de revenants, souvent ressuscités par l’intermédiaire de sciences occultes et manipulés par un sorcier.

Dans les croyances d’Afrique du Sud, la notion de zombie au xxe siècle recouvre l’idée d’esprit prisonnier d’une sorcière qui le force à travailler.

Le concept de zombie a pris une grande importance dans la culture haïtienne. Il est non seulement lié aux racines africaines, mais également à l’esclavage et à l’oppression dans l’ile.

Concept dérivés mais plus populaire

Ce concept est de loin le plus récent mais n’en demeure pas moins le plus connu. Dans cette culture populaire, le terme « zombie » désigne des personnes décérébrées contaminées par une maladie ou un élément chimique, lesquels leur donnent l’apparence de morts-vivants, donc dépourvus d’intelligence. Leur état est mieux explicable médicalement, mais ils sont souvent davantage incontrôlables, et surtout en général, les fictions mettent en scène une poignée de héros face à des hordes innombrables de zombies.

Par extension, le terme peut également désigner quelqu’un ayant l’air absent, amorphe au point de se demander s’il n’est pas plus mort que vivant.

J’espère que vous avez passé un bon moment et que vous en sortez enrichi. N’hésitez pas à likez, commenter et surtout à partager . Merci pour votre bienveillance et votre soutien. À la semaine prochaine et passez une excellente semaine Thu, 27 Jul 2023 12:55:28 +0000 Mayra Siba https://bodruch.com/les-amazones-femmes-guerrieres https://bodruch.com/les-amazones-femmes-guerrieres